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Ensemble, comprendre l'économie autrement

Le blog économique de Max Alain Obadia

#La loi Macron et le modèle social français

Avec la #loi Macron, censée redynamiser la croissance, la question du modèle social français est de nouveau sur le tapis. Le détricotage des acquis sociaux auquel nous assistons depuis 20 ans (et qui se poursuit encore aujourd'hui) est sans précédent. La mise à sac de notre modèle par une dérégulation effrénée n'a eu pour effet (ou pour but ?) que de faire plier le pays face aux exigences européennes et à celles d'une mondialisation acceptée sans discussion. Elle n'a servi que les intérêts de quelques uns au détriment du plus grand nombre. Derrière cette dérégulation se cachent des enjeux importants. Voyons ce qu'il en est. 

Une question préalable se pose : quelle est donc la fonction des dirigeants d'un pays ? Sont-ils élus pour se soumettre aux cadres et aux structures existantes ou sont-ils élus parce qu'ils ont une vision d'avenir et qu'ils sont aptes à la défendre conformément au contrat qui les lie à ceux qui leur ont fait confiance ? Le comportement de nos dirigeants successifs depuis des décennies, qu'ils soient de droite ou de gauche, montre à quel point ceux-ci ont été incapables de s'émanciper des cadres existants et à quel point ils se sont pliés à ces cadres en reniant, sitôt élus, les engagements pris la veille. Cette constatation vaut pour l'Europe entière. Partout les modèles sociaux issus de l'histoire et qui étaient le résultat de longues luttes ouvrières ont ainsi été remis en cause. 

Il existe un modèle social français. Celui-ci a été très nettement défini par le Conseil National de la Résistance (CNR) en date du 15 Mars 1944. Les principes fondateurs du programme du CNR portaient d'une part sur le respect de la dignité humaine et d'autre part sur la construction d'un état social garantissant à tous une sécurité dans les domaines de la santé, du travail, des libertés et de la démocratie. C'est tout ceci qui a été fragilisé au fils des ans. 

Lors de la négociation des premiers traités européens, lesquels sont à la source de la mise en place de l'Euro, François Mitterrand, alors conseillé par Jacques Delors (lui même assisté de François Hollande), voulait "clouer la main de l'Allemagne sur la table". En adoptant la monnaie unique, la France croyait "tenir" l'Allemagne et l'empêcher de faire cavalier seul au plan économique comme au plan politique.

En réalité, la France s'est clouée la main toute seule.

 

                                  Image hébergée par http://uprapide.com/

 

Le sentiment qui prévalait à l'époque était que l'instauration d'une monnaie unique, outre qu'elle arrimerait définitivement l'Allemagne à la France, entraînerait nécessairement à terme une convergence économique, budgétaire, sociale et fiscale pour tous les pays de la zone. 

Dramatique erreur !

Cette erreur s'est par ailleurs trouvée amplifiée par l'idée que la construction européenne devait être portée par des experts ainsi que des techniciens et qu'il fallait écarter (par principe) la souveraineté populaire. Les élites d'alors gardaient en effet en mémoire le fait qu'Hitler avait été porté au pouvoir en 1933 par un vote populaire et non par les armes ou par un coup d'état. Tout ce qui pouvait avoir trait à la souveraineté démocratique, donc au vote des citoyens, était en conséquence suspect par essence. La construction européenne s'est donc effectuée en dehors de tout processus démocratique. Et lorsqu'il y a eu processus démocratique, on sait ce qu'il en est advenu : les dirigeants politiques ont réinstauré dans le dos des peuples les dispositions que ceux-ci avaient rejetées démocratiquement.  

Cette construction a par ailleurs été conduite à l'envers.

En bonne logique, la monnaie unique aurait du être l'aboutissement des convergences politiques, économiques, sociales et fiscales et non leur préalable. Procéder comme cela a été fait, c'était faire fi des différences structurelles existant entre les pays de la zone ainsi que de leur histoire. C'était surtout faire un raisonnement économique erroné, l'instauration d'une monnaie unique n'ayant jamais, à elle toute seule, entraîné quelque convergence que ce soit, quelles que soit les zones où des monnaies uniques avaient été instaurées. 

Les pays n'ont pas tous la même structure économique et ont des différentiels d'inflation qui ne sauraient être ignorés : ces différentiels peuvent résulter de leur démographie, de l'existence ou non de ressources naturelles sur leur sol, de leur position géographique ou même de choix sociaux différents. Les défis auxquels ils sont confrontés sont donc différents et leurs entreprises ne sont pas placées dans les mêmes situations en termes de compétitivité. 

Imaginons par exemple que deux pays aient fait démocratiquement des choix sociaux différents. Imaginons encore que dans le premier (pays A) la population se soit prononcée pour la mutualisation des risques, pour un système social protecteur, pour un salaire minimum, pour un régime de retraite et de santé solidaires, etc. Dans le second (pays B), et de manière toute aussi démocratique, imaginons maintenant que les populations se soient prononcées contre toute mutualisation des risques, contre le salaire minimum et pour un système de santé et de retraite financés, non pas collectivement, mais par les contributions individuelles de chacun.

Dans un tel contexte, les coûts de production pesant sur les entreprises du premier pays (pays A) seront mécaniquement supérieurs à ceux du second puisque ces entreprises devront assumer des coûts sociaux plus importants que ceux qui pèsent sur leurs concurrents du pays B. Leurs produits seront donc plus chers. En principe, ces écarts de compétitivités, issus (ici) de choix différents de modèles sociaux, peuvent être contrebalancés en jouant sur les parités monétaires. Ainsi, en dévaluant sa monnaie, le pays A (à modèle plus social, donc plus coûteux) retrouvera de la compétitivité par rapport au pays B. Jusque dans les années 1980-1990, la France a toujours procédé de la sorte pour protéger son modèle social sans porter atteinte à la compétitivité de ses entreprises.

Si les deux pays (A et B) ont la même monnaie, une dévaluation n'est plus possible. En principe, il ne resterait plus alors, pour compenser les écarts de compétitivité, qu'à procéder à des transferts budgétaires en provenance du second pays (pays B) au bénéfice du premier (pays A). Ces transferts budgétaires sont le corrolaire de toute monnaie unique et ne peuvent en être dissociés. Ils sont la garantie d'un correct fonctionnement de cette monnaie.

A l'échelle nationale, c'est ce qui se passe en France ou aux Etats Unis, l'état central redistribuant aux régions ou aux états les plus pauvres une partie de l'impôt collecté auprès des régions ou des états les plus riches. Ainsi une part significative de l'impôt fédéral collecté auprès des états les plus prospères des Etats-Unis sert à financer les états les plus défavorisés. En France, une bonne part de l'impôt collecté en région parisienne ou en région lyonnaise (régions riches) est reversée chaque année aux régions en difficulté (dernièrement la Bretagne par exemple). Ces transferts ne créent pas de problème particulier. Les français, comme les américains, considèrent en effet leur pays comme une entité unique et il leur semble normal que le principe de solidarité s'applique dans un cadre national. Tel n'est pas le cas au plan européen où les pays les plus riches de la zone rechignent à subventionner les pays les plus pauvres. 

La construction européenne qui a imposé la monnaie unique n'a pas prévu de transferts budgétaires entre les états. Elles les a même interdits. Ces transferts ne seraient d'ailleurs pas possibles dans la mesure où il n'existe pas d'impôt européen et où les contributions des états au budget de l'Union Européenne sont très insuffisantes pour assurer de tels transferts à une hauteur adéquate. Au demeurant, les pays du nord s'opposent actuellement à de tels transferts. Voir le cas de la Grèce dernièrement.

Pour éviter la faillite de leurs entreprises, Il ne reste donc d'autre solution pour les états qui ont un modèle social développé que d'aligner les coûts de production de leurs entreprises sur ceux des entreprises des pays les plus rétrogrades socialement. Les coûts sociaux (salaires, cotisations sociales,..) représentant une part importante dans la formation des prix de revient, c'est évidemment sur eux que la pression sera la plus forte. Le système actuel, qui allie monnaie unique et absence de transferts budgétaires, conduit donc à un alignement sur le moins-disant social et tire l'ensemble des pays de la zone vers le bas. Ainsi, et même si une population a décidé (et voté unanimement) le maintien d'un système de protection sociale solidaire, l'existence d'une monnaie unique et l'absence de transferts budgétaires conduisent nécessairement à la remise en cause des systèmes sociaux les plus protecteurs. Le dumping social et fiscal qui découle mécaniquement d'une telle situation va évidemment à l'inverse de la convergence initialement recherchée.

Sans harmonisation fiscale et sociale ou sans transferts budgétaires, et dès lors que certains états refusent de s'aligner sur les moins-disants, on peut comprendre que la monnaie unique est condamnée. Au delà de ça, on comprend qu'une monnaie unique sans convergence fiscale et sociale et/ou sans transferts budgétaires est un appareil à détruire la démocratie ainsi que les choix souverains des peuples.

Aujourd'hui, les entreprises françaises, confrontées aux entreprises allemandes (qui ne connaissent encore ni salaire minimum généralisé, ni législation très protectrice des travailleurs et qui sont en outre favorisées par un état qui a transféré une bonne partie de la charge fiscale des entreprises sur le dos des populations - notamment par le biais de la TVA, qui est l'impôt le plus injuste qui soit -), sont condamnées à des pertes importantes de parts de marchés. Il ne faut pas chercher ailleurs les causes des déséquilibres que nous connaissons et celles de l'accroissement de la pauvreté ainsi que des inégalités sociales. L'essentiel des échanges des pays de l'UE s'opérant à l'intérieur de la zone, l'existence de la monnaie unique, qui empêche toute possibilité de dévaluation compétitive, constitue un réel problème.

La situation est la même face aux produits importés des pays émergents dont les entreprises ne sont souvent soumises à aucune contrainte sociale, normative ou environnementale. 

Pire, le fonctionnement actuel de la zone euro a généré un effet boomerang. En mettant à mal la compétitivité de nos entreprises par une politique de compression importante des coûts sociaux de ses propres entreprises, l'Allemagne a cassé sa propre demande intérieure. La stagnation du pouvoir d'achat de sa population dont les salaires ont été contraints, outre qu'elle a affaibli sa demande intérieure, a créé du chômage en France ainsi que dans les pays du Sud de l'Europe puisque les entreprises de ces pays, contraintes d'aligner leurs coûts de revient sur ceux de leurs concurrents allemands, ont délocalisé ou procédé à des licenciements en masse. L'Allemagne a ainsi porté un coup sérieux au pouvoir d'achat de ses principaux clients (c'est-à-dire nous). Elle se trouve maintenant contrainte de re-stimuler sa demande intérieure (mise à mal par des politiques sociales restrictives), ce afin de permettre à ses entreprises de maintenir leurs débouchés. C'est la raison principale pour laquelle le principe d'un salaire minimum a été retenu il y a peu par les autorités allemandes.

Dans ce contexte, et face à l'impasse dans laquelle nous nous trouvons, quels sont les différents scénarii susceptibles de se présenter concernant la zone euro ?

1. remplacement de "l'euro monnaie unique" par "l'euro monnaie commune" : cette solution consisterait à conserver l'euro actuel pour les échanges internationaux et à revenir aux monnaies nationales pour les échanges intra-zone. Elle permettrait de préserver les choix démocratiques et la santé des industries des pays les plus fragiles, lesquels pourraient alors dévaluer leur monnaie si besoin. Ce serait la solution la plus pragmatique. L'essentiel des échanges des pays d'Europe s'effectuant intra-zone, cette solution produirait des effets immédiats. Jacques Sapir et Philippe Murer, dans une étude très sérieuse publiée sur le site "Res Publica", ont démontré qu'un retrait de la France de la zone euro et un retour au franc, accompagné d'une dévaluation de 25%, serait de nature à créer entre 1 et 2 millions d'emplois. 

2. maintien de l'euro monnaie unique et construction d'une véritable Europe fédérale avec un budget commun, des transferts budgétaires, une harmonisation rapide des régimes sociaux et fiscaux,...) : on ne voit pas comment un tel fédéralisme pourrait être mis en oeuvre dans un avenir proche. Aucun pays ne paraît prêt à abdiquer sa souveraineté ni à renoncer aux avantages compétitifs éventuellement tirés de son système social ou fiscal. De plus, le coût des transferts budgétaires représenterait des sommes considérables pour les pays les plus riches de la zone (près de 10% de son PIB chaque année pour l'Allemagne, ce qui serait totalement inacceptable pour elle, on peut le comprendre).

3. construction d'une zone euro à deux vitesses : zone Nord  (euro fort) et zone Sud (euro faible). Une telle solution ne règlerait aucun problème dans la mesure où elle ne ferait que dupliquer le système actuel . Si la France se retrouvait dans le bloc Sud, elle serait de facto placée, à l'intérieur ce bloc, dans une position comparable à la situation actuelle de l'Allemagne dans l'euro-zone. Au demeurant, l'Allemagne ne veut pas de cette solution car l'euro-mark connaîtrait alors une réévaluation importante qui ruinerait ses exportations hors-zone. Elle profite en effet actuellement de la faiblesse de l'euro, laquelle découle, entre autres, de la situation économique dégradée des pays du Sud. La valeur de l'euro est en effet fonction de la valeur moyenne attribuée aux économies des pays de la zone prises dans leur ensemble. Dans la mesure où des pays comme la Grèce, l'Espagne ou le Portugal ont des économies fortement dégradées, la valeur de la monnaie (l'euro) diminue, ce qui favorise les pays exportateurs. Si un euro-mark venait à voir le jour, l'Allemagne serait ipso facto ruinée.

4. implosion de la zone euro : ce scénario n'est plus à écarter et rien ne serait pire qu'une dislocation non préparée. Personne ne peut aujourd'hui en prévoir les conséquences exactes, à court ou à long terme. Si rien n'est changé rapidement dans le fonctionnement monétaire européen, il est à craindre que la question ne soit plus de savoir SI l'euro va exploser, mais QUAND il va exploser.

Nos hommes politiques, qui n'ont pas eu le courage d'affronter les problèmes en face et de défendre nos modèles sociaux, par exemple en exigeant la renégociation immédiate des traités, ont engagé la France dans la voie de l'austérité et de la déflation salariale (baisse des coûts salariaux et de la protection sociale,...). S'y rajoutent des aides sans contreparties concédées aux entreprises ainsi que des hausses d'impôt et des restrictions sévères des dépenses publiques. Ce faisant, nos dirigeants pensent protéger la compétitivité de nos entreprises et rétablir l'équilibre général des finances publiques. La loi Macron s'inscrit dans le cadre de cette orientation. Elle est un signe fort que nos dirigeants, au lieu de prendre les problèmes à-bras-le-corps, ont décidé de se plier au cadre mortifère existant et de ne pas le remettre en cause. Or, l'austérité et le dumping social n'ont jamais entraîné qu'une baisse généralisée de la consommation, l'augmentation de la précarité, la hausse du chômage et la stagnation de l'économie. Cette stagnation génère à son tour des baisses de recettes fiscales pour l'état, donc une réduction drastique de ses marges de manoeuvres. On mesure là l'impasse dans laquelle nous nous trouvons. Pour en sortir, il faudrait une bonne dose de courage et de volonté ainsi que la remise en cause des vieux schémas éculés. On n'a jamais vu, en effet, les choses s'arranger toutes seules. Cela se saurait.

Les résultats du bras-de-fer actuel entre la Grèce et les instances européennes seront éclairants pour l'avenir.

 

Max Alain Obadia (avec le regard critique et amical de Jean Bernard Motte)   

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S
Chers citoyens utilisateurs d’internet, Vous pouvez être confronté à des organisations, des sociétés ou des individus malveillants vous proposant par courrier, téléphone, ou tout autre moyen de communication des services adaptés, des prêts à taux zéro, des héritages mirobolants . Ils vous demanderont de l’argent ou vous adresserons par la suite des factures correspondant à des prestations inexistantes. Il vous est évidemment loisible de saisir la brigade la plus proche de vous afin de porter plainte contre X. Par ailleurs, que vous soyez une entreprise ou un particulier, si vous pensez être victime d'une escroquerie, vous pouvez contacter LA BRIGADE SIGNAL ARNAQUE Composée de policiers et de gendarmes. Cette unité est chargée d'informer, de conseiller et d'orienter les personnes victimes d'une escroquerie. Le service est ouvert 24H / 24H  du lundi au dimanche.<br /> CONSEILS PRATIQUES :<br /> – Ne jamais communiquer le numéro de carte bancaire pour le paiement de votre impôt ou le remboursement d'un crédit d’impôt, ni pour compléter vos coordonnées personnelles.<br /> – Ne jamais envoyer de l'argent à un inconnu.<br /> – signaler tout contenu ou comportement illicite que vous auriez rencontré dans votre utilisation d'internet en général.<br /> Adresses mails : brigade.signal.arnaque.interpol@gmail.com /<br /> brigade.signal.arnaque.interpol@outlook.fr
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C
Bonjour ou bonsoir cela dépend de l’heure à laquelle vous me lisez. Je me nomme Claire HOGUE d’obédience catholique née le 25 Décembre 1957 de nationalité Canadienne. Je vous contacte sur ce forum parce que je désire faire une chose très importante, une œuvre de Dieu. Cela vous semblera un peu suspect parce que vous ne me connaissez pas et je ne vous connais pas aussi. Je souffre d'une cardiopathie ischémique chronique qui est à une phase terminale, mon Docteur vient de m'informer que mes jours sont désormais comptés à cause de mon état de santé dégradante. Les analyses et scanners ont révélés une atteinte du fonctionnement cardiaque dû à plusieurs infarctus du myocarde et une altération de la contraction du muscle cardiaque. C’est un mal que je traine depuis plus d’un an. Je suis veuve et je n'ai pas eu d'enfant. Je prévois faire une donation d’une somme importante. J'ai vendu déjà tous mes biens ainsi que la compagnie d'exportation de bois basée en Afrique que j’ai hérité de mon mari après son décès suite à un accident. Après une longue réflexion j’ai donc décidé de mettre cet argent à la disposition des associations distinctes, des centres d'aides aux orphelins et des enfants de la rue. Je veux être utile à quelque chose avant la fin de mes jours. Que toute personne de bonne moralité et ayant la crainte de Dieu et désireuse de m’aider à réaliser mes vœux les plus chers me contacte à mon adresse mail. Je dispose actuellement d’une somme de 1.250.000 € que je mettrai à la disposition de cette personne sans rien demandé en échange afin que cette dernière puisse réaliser le rêve de ma vie. Je souffre énormément et j'ai très peur, je n'arrive pas à dormir la nuit comme le jour puisque je ne veux pas mourir sans avoir aidé les enfants que j’ai tant voulu avoir dans ma vie. Veuillez bien vouloir me contacter directement dès que possible à mon courrier électronique : clairehogue@outlook.fr que je consulte en général. Que la Paix et la miséricorde de Dieu soient avec vous. Aidez-moi et vous serez comblés.<br /> Courrier électronique : clairehogue@outlook.fr<br /> Mme Claire HOGUE
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B
Après une étude des différentes plaintes enregistrées au niveau des brigades de chaque département, nous avons constaté une recrudescence des plaintes liés à la cybercriminalité. Ces différentes plaintes sont restées sans suite pour des raisons multiples. Nous sommes également convaincus que plusieurs d’autres victimes n’osent pas déposer de plainte parce qu’ils sont menacées ou reçoivent diverses intimidations. Pour faciliter la tâche à toutes personnes victimes d’une quelconque arnaque, une vaste opération de lutte contre la cybercriminalité est lancée. Il suffira juste de déposer UNE PLAINTE EN LIGNE. N’hésitez pas à nous contacter afin que nous puissions, dans un premier temps, étudier et échanger avec vous sur votre dossier. Après cette étape votre plainte sera immédiatement prise en compte par nos services compétents qui seront en contact avec vous. Ils vous tiendront informé à chaque étape de la procédure et travaillerons en collaboration avec vous jusqu’à l’arrestation de vos escrocs afin que vous soyez remboursés et dédommagés. <br /> LAINTE EN LIGNE : brigade_anti_fraude@europamel.net / brigade.anti.fraude.interpol@gmail.com<br /> NB : Nos services et interventions sont entièrement gratuits
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C
De nombreux escrocs tentent quotidiennement, par des moyens connus ou encore inconnus, de soustraire des sommes à des particuliers et des entreprises. On constate notamment que les cas de fraude se sont multipliés sur Internet de nos jours. Il devient par conséquent de plus en plus important de se protéger des escroqueries en adoptant un comportement adéquat. L'Organisation de Répression contre la cybercriminalité fournit une vue d'ensemble des principaux secteurs menacés et donne des conseils permettant d'éviter les pièges et apporte une assistance particulière aux personnes déjà victimes des différents types d’arnaques. Si vous en êtes victime, la seule solution est de porter plainte à notre adresse :<br /> <br /> E-mail : antifraudec@gmail.com
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C
Je partage le récit de mon histoire avec vous, car j'ai été victime d'une "ARNAQUE AFRICAINE" sous forme de "Romance Scamming".<br /> <br /> Emails : officederepression@gmail.com<br /> <br /> J’ai été victime d’arnaque de rencontre en Afrique au prix de 30.000€ c’était un homme au nom de Michel montagnier que j’ai rencontrer sur internet. <br /> Nous avons sympathiser via skype, via whatsapp puis quelques temps après il m’a dit qu’il se rendait en afrique pour le travail car il travaillait dans l’immobilier, on a toujours garder contact au point où je suis tombé amoureuse de ce dernier et lui aussi, après deux semaines passées dans ce pays en Afrique il ma demandé de lui donner la somme de 5000€ car sa voiture de location était une voiture volé et on l’avait appréhendé avec de l’or il avait besoin de cette somme que je lui ai versé, la semaine d’après il venait<br /> de se faire agresser il lui fallait encore de l’argent et encore jusqu’à se que je sois totalement ruinée et je me suis rendu conte que c’était de l’arnaque puisse qu’il n’arrivait jamais en France car a chaque fois il rejetait le voyage. j’étais abattu, déboussolée, je n’avais plus goût à la vie car tout mes proches m’en voulaient.<br /> Dès lors j’ai fait la connaissance d’un inspecteur qui est un agent de la police Interpol, grâce a une amie, et il m’a beaucoup aider a mettre la main sur ses individus mal intentionné et j’ai eu confiance en moi même puis j’ai été remboursé de toutes mes pertes avec un dédommagement parce qu’il a usé de son pouvoir en étant en collaboration avec d’autres pays.<br /> Alors si vous avez été arnaqué sur la toile d’une : grosse somme d’argent, d’achats non conformes à la photo, de virement bancaire, de chantage sur le net, de faux maraboutage et faux compte PayPal, de fausses histoire d’amour pour soutirer de l’argent, de vente de voiture, de gay et lesbienne et de faux tirage a la loterie etc…..,<br /> si vous le contacté, il trouvera facilement vos escroc et une fois qu’ils seront arrêtés, vous serez rembourser de tous vos frais suivi des frais de dédommagement ou n’importe quelle organisation contribuant à l’insécurité sur votre territoire via Internet quelques soit veuillez contacter l’inspecteur monsieur Marc Vercaine sur son adresse mail suivant ils pourront vous aidez alors je vous donne leur adresse afin que justice vous soit rendu. <br /> je vous rassure qu’ils ont été vraiment intelligent et aussi efficace . <br /> <br /> Emails : officederepression@gmail.com<br /> <br /> Cordialement
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P
Je suis d'accord, mais je propose d'aller plus loin. Il faut réduire le cout des dépenses obligatoires .<br /> de 57% à 40% pour favoriser l'exportation. Cette réduction de dépenses pourrait se faire en supprimant, par exemple, les " Donations aux associations bidon" en n'employant aucun personnel agé de plus de 62 ans, et en réduisant drastiquement le nombre de fonctionnairesdpnt le but est de produire le plus de règlements possible pour justifier leur place.Il faut également supprimer tous les Conseils municipaux et de n'élire que 100 députés et 16 sénateurs.<br /> Il faut aussi taxer les "expatriés". Ceci n'est qu'un début car ayant toujours travaillé dans des très grosses sociétés américaines j'ai tout un plan à détailler. Pour votre information ,en 1980, j'avais déconseillé à J Delors de suivre son plan; la suite, vous connaissez.<br /> a vous voir
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M
Merci pour votre commentaire.<br /> Je suis intéressé par le plan que vous mentionnez.<br /> Pourriez-vous me le communiquer ? Je tâcherai de vous répondre plus complètement après en avoir pris connaissance.<br /> Très cordialement<br /> Mao